27 mars 2013
Enfer-mement
Je me suis réveillée, la tempête était là … Prisonnière de cette gangue épaisse et malodorante, je suffoquais. Moite de sueur, je cherchais à fuir. En vain. Mes mains, mes bras, inertes, ne m'obéissaient plus. Le cadavre d'un chat, pendu au plafond, me...